Faute d’accréditations presse pour le Fnac Live (demandées trop tardivement semble-t-il) nous avons eu l’opportunité de tester le festival comme des parisiennes lambda avec tout ce que cela implique de contraignant, et malheureusement on ne retient bien trop souvent que le négatif…
A commencer par l’accès à la Scène du Salon qui nous a été impossible tout simplement parce qu’obtenir des billets relève du périple digne de la quête du Graal. Dans la norme et sur les indications Fnac Live on va le premier jour du festival (jeudi 6 juillet) en billetterie Fnac à Paris Gare de l’Est, pour obtenir les sésames qui ne sont distribués qu à partir de midi.
Ayant dans l’idée de réaliser le test comme il se doit on se rend à la Fnac dès 11 h comme prévu pour retirer 2 tickets pour la soirée du 7 juillet au salon, résultat impossible d’obtenir des billets, les gens sont inscrits depuis plus d’une semaine sur une liste d’attente (dont personne ne t’a jamais parlé, et quand tu en fais part à l’organisation par mail, on oublie de te répondre). Au final les dés sont pipés, et la mission retrait des invitations est un échec…
De nombreux parisiens repartent bredouilles quand certains repartent avec 6 places (2 pour chaque soir). NORMAL !
Notre première soirée au Fnac Live vient de tomber à l’eau… on tente la soirée improvisée sur les quais pour profiter du son sans subir les inconvénients, autant vous dire qu’on ne garde pas un souvenir impérissable des groupes du Parvis entendus de loin et sur lesquels nous manquions d’informations cohérentes pour pouvoir rédiger un semblant d’article, on voulait voir les artistes du salon, et on était prête à en parler… (ça viendra bientôt !)
Le deuxième soir, nous avions prévu de voir les concerts sur la Scène du Parvis, dès la fermeture des accès, nous étions prêtes avec le respect dans une moindre mesure des consignes de sécurité…
Pas d’appareil photo, ok, (je n’allais pas risquer la mise en consigne de mon Nikon) pas de boissons, ok, (ma bouteille est passée sans son bouchon), pas de nourriture, pas ok. J’avais caché dans mon sac mon kit de survie sans gluten, (les cœliaques comprendront), que je me suis fait balancer à la benne par le vigile au motif de « Y a à manger à vendre sur le site », sur le principe déjà la vente forcée c’est moche, et pas trop dans les clous niveau légalité, ensuite sachant qu’il n’y avait aucun Food Truck sans gluten (et sans risque de contamination) prendre la nourriture (qui coûte un bras) d’une personne cœliaque c’est moche. J’aurais pu faire un malaise ou pire.
Bref, passons je vais vous écrire des billets sur les jolies découvertes musicales qui ont parsemé l’échantillon du Festival Fnac Live 2017 auquel nous avons assisté, parce que du moins de ce que j’ai pu en voir / entendre, il s’agit vraiment d’un échantillonnage…
Pour le reste l’organisation du Festival est à revoir, l’évacuation à la sortie est catastrophique une petite sortie pour exfiltrer les gens, avec une image claire pour chaque spectateur présent s’il se passe un truc personne ne sait où évacuer, ni où aller et le risque de se faire piétiner en cas de mouvement de foule est très important.
Comme à tout festival gratuit, pourtant encadré par les forces de l’ordre, et un bon nombre d’agents de sécurité, l’alcool coule à flots, la marijuana plane dans l’atmosphère chaude de cette soirée d’été, et les pervers profitent de la promiscuité engendrée par les concerts pour se frotter impunément sur les fessiers des jeunes femmes présentes. Mais de cela on s’en fiche, les vigiles pourtant prévenus n’y peuvent rien, et puis soyons clair, pour eux le danger vient des bouteilles d’eau, des sandwichs et autres nourritures planqués dans vos sacs.
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