Est un groupe de pop rock anglais né en 2004 à Brighton. Leur musique est largement influencée par la musique pop anglophone des années 60, par exemple The Beatles, The Rolling Stones ou The Artic Monkeys pour ne citer qu’eux.

Leur premier album Inside In / Inside Out (2006) est sans doute le disque que j’ai le plus écouté durant mes années étudiantes. On y retrouve des titres comme Naïve, She moves in her own way, Seaside.

Deux ans plus tard ils sortent Konk (2008) qui rencontre toujours un franc succès auprès du public, et qui séduit grâce à des titres comme Sway, Shine On, Do you Wanna

S’ensuivent des tournées internationales, et deux nouveaux albums, Junk of the heart (2011) et Listen (2014), et un Best of… So Far (2017), le groupe s’installe dans le paysage musical anglophone, et la France semble être le seul pays réellement hermétique au talent des jeunes garçons de Brighton.

Porté par la voix de Luke Pritchard, membre fondateur du groupe, par des mélodies efficaces, et des paroles simples, mais « catchy », The Kooks essaie de redonner à la musique pop sa place, au cœur de toutes les musiques.

Boudés par la presse francophone, inconnus pour beaucoup, The Kooks rempli pourtant à chaque venue nos salles parisiennes, où ils jouent à guichets fermés.

Aujourd’hui ils reviennent avec deux titres inédits, dont le titre Be who you are (ci-dessous), et ils sont en pleine préparation d’un nouvel album.

La question n’est pas de savoir s’il manque quelque chose à ce groupe, les puristes trouveront toujours quelque chose à redire, mais de savoir pourquoi les français ont du mal à accepter la pop anglo – saxonne…