Le projet Homa est né de la rencontre en 2013 d’Alexandre Barberon avec Etienne de Nanteuil (Octopus Production), qui a encouragé dès le début les inspirations, et les idées musicales d’Alexandre pour faire naître Homa.
Né de parents français dans l’état de New York, Alexandre apprend le piano dès son plus jeune âge, quelques années plus tard il découvre la pop et la musique électronique, et très rapidement il attrape le virus de l’écriture et de la composition.
Dans ce nouvel extrait, intitulé Maybe I forgot what we said il dévoile peu à peu sa voix, et ses qualités vocales. Tout comme il se dévoile peu à peu dans le clip qui l’illustre. Tel un preux chevalier d’une autre époque lointaine, il se fait retirer son armure par une jeune fille, lentement mais sûrement, de la même façon qu’il ôte sa carapace, petit à petit, en se dévoilant toujours un peu plus à travers sa musique.
Des mélodies épurées, sans doute marqué par ses années de conservatoire, des arrangements électro pop tout en douceur, un mélange détonnant qui fait des chansons de cet album un plaisir auditif presque jouissif.
Peu à peu Homa dessine son univers, entre une ambiance presque futuristico -intergalactique, et la douceur de la composition et de ses paroles.
Derrière l’ambiance hypnotique, presque planante, des différentes chansons, on retrouve des influences diverses mais omniprésentes comme MGMT, Jean Michel Jarre, Phoenix ou encore Air.
Sortie le 23 mars chez Octopus / Simple / Sony Music
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