Anne Paceo a sorti en janvier dernier Bright Shadows, sur cet opus la jeune femme s’entoure de cinq autres musiciens venant d’horizons complètement différents.
Qu’il s’agisse des chanteurs Florent Mateo, et Ann Shirley, ou du claviériste Tony Paeleman, du guitariste Pierre Perchaud ou encore du saxophoniste Christophe Panzani, le mélange des influences tantôt classiques ou pop et tantôt blues ou rock, donnent un résultat savoureux, qui s’écoute sans modération.
Dans Bright Shadows, Anne Paceo propose des compositions métissées, dont l’esthétique est à la fois captivante et hypnotique, entre les musiques du monde, la pop, la soul, et quelques sonorités électriques, c’est une invitation au voyage que l’artiste nous lance à travers ce nouveau disque. A l’écoute de cet album, on le comprend, Anne Paceo ne veut pas s’enfermer dans une boîte, elle ne se restreint pas, de la pop, du folk, du jazz et de l’électro, tout y passe, tout s’entend dans Bright Shadows, comme pour exprimer ce qu’elle avait au plus profond d’elle-même.
Elle y évoque le temps qui passe, le monde et l’intime, le changement et la métamorphose, la mémoire, l’amour et les interrogations que cela suscite.
En bref, Bright Shadows est un condensé d’aventures entre l’audace musicale et l’improvisation.
Bright Shadows toujours disponible chez Laborie Jazz
Pour lire l’article précédent, clique ici.
Pour me soutenir via Facebook, clique ici.
RDV sur Instagram avec l’identifiant @lesmusichroniques
1 Ping