Alors qu’il débarque sur la scène musicale en 2014, en pleine vague soul, John Milk se fait rapidement une place avec un son qui le différencie.

En effet c’est parce qu’il produit de la soul jamaïcaine avec du matériel analogique depuis quelques temps déjà, que John Milk compose et enregistre une musique différente inspirées par les interprétations jamaïcaine du Rythm and Blues américain.

Cette signature musicale, imposée par des moyens limités et les contraintes technologiques, il en fait une force, elle devient son identité, et sa marque créative. Son premier album, Treat me right est un succès. Succès qu’il confirmera avec son deuxième album Paris Show Some Love en 2017, où il expérimente encore plus en regroupant des influences soul évidemment, mais aussi hip hop, funk, électro, qui donnent une intensité étonnante à ce disque.

Toujours guidé par cette envie de faire évoluer sa musique, et de créer un son qui lui ressemble John Milk sort un nouvel EP, intitulé Don’t Blame the Hammer qui se composent de chansons brutes et simples, propices à l’introspection et à la réflexion mais aussi à une ambiance dansante, il laisse à chacun le soin d’entendre et de ressentir sa musique comme il le souhaite.

Ce nouvel EP, entièrement composé et produit par lui-même, est le mélange parfait des influences qu’il affectionne : Jamaican Soul, Rythm & Blues, Shaolin Soul, NuSoul et Hip-Hop.

Avec des sonorités vintage Don’t blame the hammer, est un hommage aux grandes figures de la Soul, d’Al Green à Curtis Mayfield, en passant par Stevie Wonder ou Isaac Hayes.

Le premier extrait de cet EP, Don’t blame the hammer, résume parfaitement l’intensité mélodique et la qualité vocale de John Milk.

Sortie le 29 octobre 2021 chez Underdog Records

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